Liens entre la prévalence des pathologies cancéreuses et l'exposition aux perturbateurs endocriniens, en tenant compte de l'épigénétique
D’après l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), "les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques d'origine naturelle ou artificielle étrangères à l'organisme qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire ainsi des effets néfastes sur cet organisme ou sur ses descendants". Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a confirmé le caractère cancérigène de certains perturbateurs endocriniens, d’autant que certaines substances ayant des propriétés de perturbateurs endocriniens ont également un effet cancérogène avéré sur des localisations non endocriniennes.
Ainsi il existe des liens épidémiologiques entre la prévalence de certaines pathologies cancéreuses, telles que les cancers de l'utérus, du vagin, des testicules, du sein, de la prostate, du colon et de la vessie.
Les coûts humains et économiques font de l’exposition aux perturbateurs endocriniens une priorité de santé publique pour l’ensemble des autorités médicales. Les médecins ont le devoir d’informer les patients concernant la toxicité connue des perturbateurs endocriniens. Ils doivent leur fournir des explications claires sur les mesures préventives d’exposition aux PE en fonction des données scientifiques les plus récentes.
Les médecins spécialistes en médecine générale, pédiatrie, gynécologie, urologie, oncologie, gastro-entérologie et endocrinologie doivent mieux appréhender les liens épidémiologiques entre la prévalence des pathologies cancéreuses et l’exposition aux perturbateurs endocriniens pour intégrer ses données dans la prise en charge de leurs patients.
Prérequis: aucun, excepté l'ouverture de ce programme aux spécialités stagiaires mentionnées dans la partie "Pour qui?".
Tarif: Cette formation est un programme validé par l'ANDPC, et est prise en charge et indemnisée (sous réserve de l'utilisation de votre budget annuel ANDPC). Pour tout complément d'information, vous référer à votre compte "mondpc.fr".
Délais d'accès : dès réception de l'inscription et de la validation du dossier complet
Ainsi il existe des liens épidémiologiques entre la prévalence de certaines pathologies cancéreuses, telles que les cancers de l'utérus, du vagin, des testicules, du sein, de la prostate, du colon et de la vessie.
Les coûts humains et économiques font de l’exposition aux perturbateurs endocriniens une priorité de santé publique pour l’ensemble des autorités médicales. Les médecins ont le devoir d’informer les patients concernant la toxicité connue des perturbateurs endocriniens. Ils doivent leur fournir des explications claires sur les mesures préventives d’exposition aux PE en fonction des données scientifiques les plus récentes.
Les médecins spécialistes en médecine générale, pédiatrie, gynécologie, urologie, oncologie, gastro-entérologie et endocrinologie doivent mieux appréhender les liens épidémiologiques entre la prévalence des pathologies cancéreuses et l’exposition aux perturbateurs endocriniens pour intégrer ses données dans la prise en charge de leurs patients.
Prérequis: aucun, excepté l'ouverture de ce programme aux spécialités stagiaires mentionnées dans la partie "Pour qui?".
Tarif: Cette formation est un programme validé par l'ANDPC, et est prise en charge et indemnisée (sous réserve de l'utilisation de votre budget annuel ANDPC). Pour tout complément d'information, vous référer à votre compte "mondpc.fr".
Délais d'accès : dès réception de l'inscription et de la validation du dossier complet
Pour qui?
Médecin généraliste, endocrinologue, pédiatre, gynécologue, Hépato-gastro-entérologie, Oncologie et urologue
